L'opposition ne peut que crier à la fraude, c'est de bonne guerre. C'est l'humiliation totale.
Cette victoire devrait lui assurer de rester aux commandes du Togo pour les six prochaines années au moins, selon la nouvelle Constitution adoptée le 19 avril par les députés sortants, qui fait basculer le pays d'un régime présidentiel à un régime parlementaire.
Dans les jours qui ont suivi l'élection, plusieurs organisations internationales, dont la Cedeao, l'Union africaine et l'Organisation internationale de la francophonie, se sont dites satisfaites de la tenue du scrutin.