Et ce alors que les sirènes d'alertes n'avaient pas été activées lors du séisme, pour ne pas créer de panique supplémentaire, selon les autorités.
A Almaty, ville du sud qui a déjà été ravagée trois fois à la fin du XIXe siècle et au début du XXe, de nombreux bâtiments construits avant les années 1950 et dans le chaos ayant suivi la chute de l'Union soviétique en 1991 pourraient ne pas survivre en cas de fort séisme.
Le dirigeant de ce régime encore considéré comme autoritaire malgré des réformes, a aussi appelé à éviter le chaos, alors que de nombreux habitants ont quitté Almaty en voiture après le séisme de lundi.
En Asie centrale ex-soviétique, d'autres grandes villes ayant déjà été en partie détruites au siècle dernier craignent un nouveau tremblement de terre destructeur.